Friche Devaux : Différence entre versions

De HP@2
Aller à : navigation, rechercher
Ligne 3 : Ligne 3 :
 
| type=Friche industrielle
 
| type=Friche industrielle
 
| inauguration=
 
| inauguration=
| latitude=
+
| latitude=50.444518
| longitude=
+
| longitude=3.429835
 
| descriptif=Friche industrielle
 
| descriptif=Friche industrielle
 
}}
 
}}
Ligne 12 : Ligne 12 :
 
C’est au XIXe siècle que Jean-Baptiste Devaux crée une usine moderne où l’on file et teint la laine peignée et la nomme Maison Devaux-Milcamps.
 
C’est au XIXe siècle que Jean-Baptiste Devaux crée une usine moderne où l’on file et teint la laine peignée et la nomme Maison Devaux-Milcamps.
  
Elle comporte, jusqu’en 1967, une bonneterie fantaisie, une seconde qui fabrique des chaussettes et des gilets, des ateliers mécaniques et de
+
Elle comporte, jusqu’en {{A|1967}}, une bonneterie fantaisie, une seconde qui fabrique des chaussettes et des gilets, des ateliers mécaniques et de
 
couture, mais aussi de toiles et filtrants, une machine à vapeur pour l’électricité et le chauffage, une teinturerie lissage, un site de bobinage,
 
couture, mais aussi de toiles et filtrants, une machine à vapeur pour l’électricité et le chauffage, une teinturerie lissage, un site de bobinage,
 
des bureaux, rue de Valenciennes, et cette filature qui se dresse encore fièrement à l’entrée du Parc de la Scarpe et dont la municipalité a souhaité qu’elle reste un des cœurs de notre cité industrielle.
 
des bureaux, rue de Valenciennes, et cette filature qui se dresse encore fièrement à l’entrée du Parc de la Scarpe et dont la municipalité a souhaité qu’elle reste un des cœurs de notre cité industrielle.

Version du 28 août 2025 à 08:45

Nom 
Friche Devaux
Descriptif 
Friche industrielle
Commune 
Saint-Amand-les-Eaux


Pour s'y rendre openstreetmap[[Catégorie:{{{inauguration}}}]]

La Vie Amandinoise N°1291 / p.6 

C’est au XIXe siècle que Jean-Baptiste Devaux crée une usine moderne où l’on file et teint la laine peignée et la nomme Maison Devaux-Milcamps.

Elle comporte, jusqu’en 1967, une bonneterie fantaisie, une seconde qui fabrique des chaussettes et des gilets, des ateliers mécaniques et de couture, mais aussi de toiles et filtrants, une machine à vapeur pour l’électricité et le chauffage, une teinturerie lissage, un site de bobinage, des bureaux, rue de Valenciennes, et cette filature qui se dresse encore fièrement à l’entrée du Parc de la Scarpe et dont la municipalité a souhaité qu’elle reste un des cœurs de notre cité industrielle.