Hospice de l'Hôtellerie : Différence entre versions

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Selon les vieux chroniqueurs, les fondations de l’Hostellerie remontent à l’an 350 comme l’indique l’inscription sur la porte. Elle se trouvait à ses origines au pied du château Saint-Jean, berceau de la cité. Au XVIIIème siècle, ce bel hôtel appartenait à Pierre Hamoir, écuyer et secrétaire du roi, mort en 1775. Une petite de ce dernier le céda en 1875 aux Petites Sœurs des Pauvres qui en firent un asile. Il devint la propriété de la ville qui le mit à la disposition de l’administration des Hospices. En 1908, on y transfère l’antique institution où des personnes, de conditions modestes, peuvent trouver un abri.
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Selon les vieux chroniqueurs, les fondations de l’Hostellerie remontent à l’an 367 comme l’indique l’inscription sur la porte. Elle se trouvait à ses origines au pied du château Saint-Jean, berceau de la cité. Au XVIIIème siècle, ce bel hôtel appartenait à Pierre Hamoir, écuyer et secrétaire du roi, mort en 1775. Une petite fille de ce dernier le céda en 1875 aux Petites Sœurs des Pauvres qui en firent un asile. Il devint la propriété de la ville qui le mit à la disposition de l’administration des Hospices. En 1908, on y transfère l’antique institution où des personnes, de condition modeste, peuvent trouver un abri.
  
 
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Version du 12 mars 2013 à 11:04

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Selon les vieux chroniqueurs, les fondations de l’Hostellerie remontent à l’an 367 comme l’indique l’inscription sur la porte. Elle se trouvait à ses origines au pied du château Saint-Jean, berceau de la cité. Au XVIIIème siècle, ce bel hôtel appartenait à Pierre Hamoir, écuyer et secrétaire du roi, mort en 1775. Une petite fille de ce dernier le céda en 1875 aux Petites Sœurs des Pauvres qui en firent un asile. Il devint la propriété de la ville qui le mit à la disposition de l’administration des Hospices. En 1908, on y transfère l’antique institution où des personnes, de condition modeste, peuvent trouver un abri.


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