12 rue de Famars : Différence entre versions
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| − | À l’entrée de la rue de Famars en venant de la Place d’Armes, on aperçoit cette bâtisse très originale de la même époque que l’office de tourisme. Il s’agit également d’une maison « espagnole » à façade de bois. Elle a fait l’objet d’une réhabilitation dans les années 1970 | + | À l’entrée de la {{rue|de Famars}} en venant de la Place d’Armes, on aperçoit cette bâtisse très originale de la même époque que l’office de tourisme. Il s’agit également d’une maison « espagnole » à façade de bois. Elle a fait l’objet d’une réhabilitation dans les années 1970. |
| + | Sa façade et sa toiture retenant tout intérêt a donc été inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. La construction date de la fin du XVIème siècle, elle se distingue par son pignon en auvent avec ses aisseliers dessinant un grand arc. La façade sur cours est soutenue par des piliers de marbres qui semblent provenir d’un ancien édifice religieux disparu après la Révolution. À l’époque, elle abritait un tanneur, puis un fabricant de toilettes au XIXème siècle. Puis, elle servit d’épicerie, ensuite d’estaminet avant d’être occupée par un tapissier, puis dernièrement un commerce de vêtements. | ||
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Version actuelle en date du 14 juin 2017 à 19:15
À l’entrée de la rue de Famars en venant de la Place d’Armes, on aperçoit cette bâtisse très originale de la même époque que l’office de tourisme. Il s’agit également d’une maison « espagnole » à façade de bois. Elle a fait l’objet d’une réhabilitation dans les années 1970.
Sa façade et sa toiture retenant tout intérêt a donc été inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. La construction date de la fin du XVIème siècle, elle se distingue par son pignon en auvent avec ses aisseliers dessinant un grand arc. La façade sur cours est soutenue par des piliers de marbres qui semblent provenir d’un ancien édifice religieux disparu après la Révolution. À l’époque, elle abritait un tanneur, puis un fabricant de toilettes au XIXème siècle. Puis, elle servit d’épicerie, ensuite d’estaminet avant d’être occupée par un tapissier, puis dernièrement un commerce de vêtements.
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