Église Sainte-Barbe (La Sentinelle) : Différence entre versions
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Classée à l'UNESCO, il s'agit de l'unique bâtiment industriel converti en édifice religieux. | Classée à l'UNESCO, il s'agit de l'unique bâtiment industriel converti en édifice religieux. | ||
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− | En effet, lorsque l'eau montait dans ce puits, les mineurs prévenaient les collègues dans les autres puits du voisinage. | ||
− | ; 1854 : Le puits est béni. | + | ; {{A|1854}} : Le puits est béni. |
− | ; 1945 : La chapelle devient église. | + | ; {{A|1945}} : La chapelle devient église. |
− | ; 1999 : L'église est rachetée par la commune. | + | ; {{A|1999}} : L'église est rachetée par la commune. |
− | ; 2017 : L'édifice est rénové pour un montant de 683000€ (financement DRAC et CAPH). | + | ; {{A|2017}} : L'édifice est rénové pour un montant de 683000€ (financement DRAC et CAPH). |
− | ; 2018 : Une polémique est lancée après la mise en place d'une nouvelle croix qui pourrait être considérée comme «christianopohe». | + | ; {{A|2018}} : Une polémique est lancée après la mise en place d'une nouvelle croix qui pourrait être considérée comme «christianopohe». |
Version actuelle en date du 13 mars 2022 à 12:00
Classée à l'UNESCO, il s'agit de l'unique bâtiment industriel converti en édifice religieux.
En 1818, la compagnie des mines d'Anzin inaugure un nouveau puits dans un hameau de Trith-Saint-Léger dénommé «La Sentinelle» selon le nom du puits. En effet, lorsque l'eau montait dans ce puits, les mineurs prévenaient les collègues dans les autres puits du voisinage.
- 2017
- L'édifice est rénové pour un montant de 683000€ (financement DRAC et CAPH).
- 2018
- Une polémique est lancée après la mise en place d'une nouvelle croix qui pourrait être considérée comme «christianopohe».